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LE FIL DE SENLIS
1 mai 2013

UNE HISTOIRE DE COUP

Au cours des travaux rue Bellon, les ouvriers, sur un coup de pioche, ont exhumé des sarcophages dont l'un contenait un squelette.

C'est bien la première fois que la municipalité déterre une cadavre alors qu'elle nous avait plutôt habitués à les enterrer comme par exemple lorsque quelques mois après son arrivée Pascale Loiseleur avait retiré la plainte déposée par JC Canter qui avait constaté  des anomalies dans les marchés publics  passés à l'époque d'Arthur Dehaine.

En agissant ainsi Pascale Loiseleur avait enterré un dossier particulièrement gênant.

Les élections municipales approchant, va-t-on assister à de nouvelles exhumations?

Comme nous ne sommes pas à un coup de pioche près à Senlis, c'est du coté de l'aire de grand passage que les choses s'enveniment.

 

La municipalité y voit une action malveillante et un complot ourdit par les élus de de Chamant ou de taupes géantes  qui creusent des fossés pour empêcher l'accès à la future AGP.

A quand les coups de têtes ?

Cela commence à faire beaucoup de tensions de conflits et de procès pour un choix qui, d'après la municipalité avait été fait dans la "con"- certation, préfixe qui défini d'une manière assez précise la manière dont les différentes parties prenantes sont prises au sujet de ce dossier.

Une information qui devrait faire réflechir nos élus responsables : les gens du voyage auraient refusé de s'installer sur cette aire compte tenu de la proximité de la quatre voies et du danger pour les enfants....

On est pas sorti de la caravane.....

lfds

 

 

 

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