LES SECRETS DU CEEBIOS
Le dessous des cartes.
Pascale « Ushuaia » Loiseleur affublée de son l’inénarrable Francis « Tournesol » Pruche font du Ceebios la pierre angulaire de la campagne 2014. Les retombées s’annoncent extraordinaires ! des logements, des étudiants, un centre de recherche à la pointe de l’innovation (ou un centre en pointe en recherche d’innovation ! ) mais d’ici quelques temps les senlisiens risques fort d’être à la recherche de ce centre d’innovation de pointe tellement les paramètres liés à la réussite de cette aventure si hasardeuse semblent difficiles à être réunis.
Un peu comme Nicolas Hulot, (prendre une voix nasillarde et entrecoupée par le souffle d’un détendeur de plongée sous-marine ) Je vous invite, pchttt…., chers lecteurs et lectrices, pchuuutttt, blblblblblupppsss…, pchttttt……….., à découvrir les fonds, pcchtttt…………cachés du mystérieux dossier d’acquisition, pchhttttttttt……blupbluppblup……., du Quartier Ordener, future épave des projets de Pascale Loiseleur, pchuuutttt, blblblblblupppsss…, pchttttt……….figure de proue d’un titanic des temps modernes qui fonce à toute vapeur pchhttttttttt……blupbluppblup…… sur l’Iceberg de l’échec, blupbluppblup………
Je change de voix, cela sera plus simple pour la compréhension de tous !
Voici ce que Pascale Loiseleur se garde bien de vous dire sur le CEEBIOS qui se révèle être une véritable imposture, une tromperie, une arnaque intellectuelle à plusieurs dizaines de millions d’euros, dont les informations reprises ci-dessous sont reprises du compte rendu du conseil municipal.
- L’accord passé avec l’état est totalement disproportionné et déséquilibré :
Ainsi, Pascale Loiseleur a accepté qu’en cas de revente de tout ou partie des biens, La ville devra rembourser 50% de la plus value éventuelle alors qu’elle aura supporté 100% de la charge financière liée à son achat, à son entretien voire à la réhabilitation du quartier Ordener.
Ainsi en cas d’échec du projet, ou de vente partielle, Pascale Loiseleur et Bruno Six ont abandonné 50% des profits potentiels de cette vente qui auraient pu être très utiles pour une piscine, une maison de retraite, des salles de sports, pour les écoles de nos enfants. Bel accord sur le dos des impôts futurs des Senlisiens par des élus qui se sont auto proclamés gardiens des finances de la ville, alors que le contribuable Senlisien déjà bien plumé par ailleurs en comparaison des services rendus, se voit ramené au rang de dindon farci
- Il n’y a aucun plan B. Selon l’adage populaire biomimétique avant l’heure : « il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier », ce projet est pour le moins aventureux et sans retour. S’il s’avérait que ce projet ne soit pas au rendez vous des espoirs décrits par ces professeurs Nimbus, il n’y a aucun plan B, sauf bien entendu celui exposé ci-dessus qui priverait la ville d’une formidable aubaine financière
- Le contrat de cession a été conclu sans que les diagnostics aient été réalisés. Ainsi la ville s’est engagée irrévocablement à acheter ce quartier sans avoir la moindre idée de l’état des sols en particulier. Ainsi aucun sondage ne permet de savoir si les sous sols sont suffisamment solides alors que Senlis est un véritable gruyère. Plus surprenant et très téméraire, il n’y a aucun diagnostic pollution. Le saviez vous ? Ce quartier est un ancien régiment de transmission. Qui dit transmission dit accumulateurs (batteries pour les équipements ) et qui dit accumulateurs dit plomb, composé particulièrement toxique pour l’environnement.
- · Les élus ont également pris à leurs charges le déménagement d’un transformateur électrique bourré de pyralène (PCB) qui dégage des dioxines en cas d’incendie. Le pyralène est un composé classé comme cancérigène et présente une menace réelle pour l’environnement. Qui c’est le pigeon qui se charge de ce démantèlement ? le contribuable Senlisien sans compter forcément les menaces que représentent ces transformateurs pour la population. Les élus actuels porteurs de ce projet sont de véritable rêveurs, croisement improbable des professeur Mabuse et Tournesol qui vous cachent et se cachent la réalité.
- Sur le coût du projet : il y a un peu plus de 22.000 M2 de bâtiments inutilisés, à l’abandon voire en ruine après plus de 5 ans sans être entretenus ou chauffés. Les bâtiments dont l’ancien manège sont classés. Rien que la réhabilitation, la mise au norme et la transformation de ce bâtiments en salle de conférence coûterait des millions d’euros. Il faut compter environ 1000 Euros du M2 soit plus de 22 Millions d’Euros et non 17 rien qu’en rénovation. le budget d’un tel investissement a été minimisé par la ville et l'état qui s’est empressé de se débarrasser de ce fardeau en le refourguant à une bande de gogos bobos sophistes vaniteux et embourgeoisés. Le coût réel de ce projet est en réalité de plus de 30 Millions d’euros.
- Qui peut également soutenir sérieusement que ces coûts seront supportés par les entreprises et industriels alors que l’expérience démontre que ces implantations du secteur privé sont toujours suspendues et conditionnées et des aides en nature ou financières des collectivités territoriales à ces entreprises, sauf à Senlis forcement où c’est le contraire !!
- Alors que les budgets recherches sont déjà comptés et utilisés avec le plus d’efficacité possible connaissez vous une entreprise sauf le centre de recherche des bisounours et du père noël prêtent à débourser des sommes faramineuses avant de s’installer ? Au mieux la ville renoncerait en contre partie à percevoir des loyers se privant encore de nouvelles ressources
- Enfin, cerise sur le gâteau, la structure de gestion qui portera la gestion du Ceebios sera une Association, loi 1901, à but « non-lucratif » comme l’association des Avrilopiscicophiles, des Chalunopantaxophiles, de Molubdotémophiles (je vous laisse regarder dans un dico..), des diptèrosodomiphiles (de mon invention, pauvre mouche) ou plus prosaïquement comme le club de bridge véritable pépinière d’élus alternatifs. Mais où sont donc les partenaires privés qui auraient pu s’associer dans une Société d’économie Mixte, sans compter le danger de gestion de fait propre à ces structures associatives para-municipales qui risque de doucher la moindre initiative. Vous imaginez le bureau de l’association du Ceebios aller négocier des prêts ou des accords avec des multinationales flanqué du trésorier de l’association et du président !! Quand le grand poisson mangera le petit (parabole biomimétique).
- Le mensonge même par omission reste un mensonge.
- Nous devons tous sanctionner Pascale Loiseleur pour ces mensonges. Votez contre le Ceebios en votant contre Pascale Loiseleur ou Jérome Bascher qui soutient cette aventure !
Il n'y a qu'un seul projet vraiment crédible, structuré, financé et tourné vers les senlisiens, c'est le projet d'Aimer Senlis.
Phil